Les dessous des espadrilles Arsène c’est ici.

Les backstages des espadrilles Arsène, frontside backside, goofy ou regular, up and down.

Employee of the year.

Avant de commencer par les vrais propos de ce 1er article de l’année, je vais commencer par les faux. Oui les faux, ceux qui sont futiles mais qui font mal au cœur. Car oui aujourd’hui j’ai le cœur qui saigne. En effet virgule suite à la rédaction du dernier billet nous avons eu des retours, certes pour la plus part positifs mais il faut bien se l’avouer, également des retours négatifs. Enfin, on a eu des retours négatifs, on en a eu deux pour être exact. Mais celui qui ne fait rien ne risque pas d’être critiqué comme dirait… comme dirait quelqu’un qui apparemment s’est fait critiquer.

Alors selon ma mère j’écris trop souvent le mot “là” dans mes phrases. Ah bon. Alors voilà, on y arrive. Quand tu te prends ça dans les dents, par une personne dont la chaine préférée est M6, et qui regarde les replay de 100 % Mag, L’amour est dans le pré, Le meilleur pâtissier de France et Top Chef, et qui en plus émet cette critique en commentant le statut Facebook d’Arsène, et bien oui, oui, j’ai tout remis en question. Puis après j’allais mieux. Coucou maman.

La deuxième critique vient d’une amie, une amie proche, qui est plus proche du proche orient que du reste d’ailleurs mais soit. Soi disant qu’elle n’a pas beaucoup ris en lisant mon article. CRITIQUE SUPRÊME. À cette personne, que je ne nommerai pas mais qui s’appelle Kiki et que vous pourrez joindre au 065833236?, je lui répondrai de la sorte : c’est l’histoire d’un pingouin qui respirait par le cul, puis un jour il s’est assis. Il est mort. (Je sais qu’elle l’aime bien celle la).

2014 commence, et avec son début vient également le temps des changements, et même s’il est encore trop tôt pour le dire mais je prends le risque, les améliorations. Pas mal de choses vont être modifiées chez Arsène cette année. On ne change pas non plus du tout au tout, mais on regarde ce qu’on a fait, on prend un peu de recul et on essaie d’avancer sur des petites choses. L’expérience d’une année nous a permis d’y voir un peu plus clair.

– Davantage de modèles en 2014 : on augmente nos modèles. La collec de 2013 était une collection test. Les modèles ont plu, donc cette année il y aura une belle collection plus consistante on va dire. Puis surtout c’est l’arrivée de la collection “homme”. Une vraie collec pour les mecs, messieurs vous n’aurez plus d’excuses.

– Mise à jour de notre e-shop : quelques petites modifications sur notre e-shop, avec notamment deux onglets “femme” et “homme” bien distincts. Sinon le site restera fondamentalement le même, avec quelques petites modifs mais que vous verrez à peine je pense. On l’aime tellement notre site comme ça. Après je dis ça, mais l’autre jour Charlotte dans un éclat de colère m’a dit “je t’annonce, on va refaire ENTIEREMENT ce site”. Voilà. D’ailleurs on va bientôt le fermer là, pour le ré ouvrir courant mars si tout va bien.

– Changement de serveur : super important car à cause de notre serveur actuel nous avons rencontré quelques soucis pour communiquer avec vous. Notamment pour le SAV. Certains de vos messages envoyés par le formulaire de notre site ne nous parvenaient pas. Du coup, perte de temps et d’efficacité pour vous répondre. Et c’était pareil lorsque nous vous répondions via notre back office. Alors on migre tout ça vers quelque chose de plus costaud.

– Modification des pointures de nos espadrilles : pour certains de nos modèles, certains d’entre vous on du commander deux pointures au dessus. L’espadrille est faite à partir d’un moule. Nous avons donc modifié nos moules, et après plusieurs prototypes, nous avons résolu ce problème. Par contre, je le précise encore, l’espadrille doit être serrée au 1er essayage car elle se détend après quelques heures. Mais oui, je suis d’accord, faut pas non plus saigner du pied.

– Augmenter la visibilité de notre marque : évidemment ça c’est notre devise à plein temps. Mais on a remarqué qu’on pouvait être encore plus visible, du moins pas nous physiquement, mais le nom Arsène, notre site web puis aussi le fait que nos produits soient Made In France. Du coup, on retrouvera tout ça dans nos points de vente, mais aussi dans vos commandes depuis notre e-shop.

Tout cela vous le verrez très vite, mais avant, suivez bien nos réseaux sociaux, ça va bouger bientôt…

Haspé.

Le bilan.

Bon. On est en décembre là. L’heure du bilan annuel non ? Le bilan classique, basique, qu’on fait chaque fin d’année. C’est donc l’occasion de revenir sur ce blog. Ce blog qu’on ne tient plus avec charlotte, qu’on se le dise. Pourquoi ? ah mais ça on peut pas dire. Pas de temps, pas d’envie, trop rigoureux d’écrire régulièrement sur un blog pour nous !

Je vais pas écrire une intro de 30 lignes à chercher à savoir pourquoi on ne fait plus vivre ce blog. Non. Mais là faut qu’on s’y remette. (La vérité c’est que ma coloc vient de me dire qu’elle avait assisté à une conférence “sociale” aujourd’hui, et que le blog, c’est la seule chose qui restera gratuite et qui fera vivre nos réseaux sociaux).

Du coup j’ai eu un déclic. J’étais couchée, 22H37, je twittais sur ma coloc (celle de la dite conférence) qui prononçait à haute voix des mots en anglais devant une appli pour apprendre l’anglais justement. Puis je me suis dit que de toute façon j’étais pas en état de dormir, donc allez, je vais écrire un petit article sur notre blog de l’oubli. J’ai envoyé un message à Charlotte qui disait “je vais écrire un article sur notre blog là”. Là je suis dans le salon, mon portable dans ma chambre donc je ne connais pas encore sa réponse mais je peux l’imaginer : “allez ça y est t’es en l’air”, ou “tu n’écris pas n’importe quoi”, ou “ok”.

Notre dernier article datait du mois de mai apparemment. Wahou. Même l’interface de tumblr a changé un peu. Et notre blog justement. Ah bon, il était comme ça notre blog. Ouais, donc le mois de mai. Je peux pas tout récapituler en un article, il s’est passé trop de choses tout le temps. On s’est tapé des marchés les week-ends où on a rencontré des gens drôles et passionnés et où on avait jamais assez d’espadrilles paillettes. On s’est tapé des marchés nocturnes où on arrivait sans éclairage et sans les clés de la caisse. On a envoyé des colis puis renvoyé des colis. On a perdu des factures tout le temps. On a passé 4 jours au Who’s next à Paris à vendre des espadrilles à des asiatiques et à boire du champagne. Charlotte a bu du ricard à la paille aussi (triste histoire). On a fait des prototypes pour la prochaine collec. On a fait nos shootings photos dans la salle de bain des beaux parents de Charlotte (on y trouve un puits de lumière extraordinaire). On s’est dit 60 fois “pour la prochaine collec on va faire comme ça”. On a changé d’avis 86 fois. On s’est fait des films puis on a été déçu. Puis après on était contente. On a pris notre voiture pour chercher des magasins qui voulaient bien vendre nos espadrilles. On en a trouvé. On est passé dans Shoes-up Magazine. Charlotte s’est mariée (mariage de haut niveau). J’ai été voir les Local Natives en concert. Je fais de l’aviron. Charlotte fait de la gym suédoise. Mais dans tout ça le plus bizarre, c’est pas de faire de l’aviron ou de la gym suédoise, c’est de réaliser que tout est passé à une vitesse folle. C’était notre vraie 1ère année vraiment. Parce qu’au début c’est des idées puis tu dois passer au concret. Et c’était là en 2013 en fait.

Ça s’est plutôt bien passé. Super année. Même si des fois tout ça fait peur, on ne sait toujours pas où on va, on s’éclate. On se régale même je dirai. De manière plus conventionnelle, on pourrait dire que notre petite entreprise est sur la bonne voie. En tout cas on va tout faire pour qu’en 2014 ça continue comme ça. On sait très bien qu’on aura encore des emmerdes, des trucs là qui te tombent dessus quand tu t’y attends le moins. Et je ne pourrai certainement pas dire qu’on est blindé. Non. Les gros moments de doute seront (sont) encore bien présents je pense. Mais bon, quand on regarde en arrière, ça vaut le coup.

Notre nouvelle collection arrive (si tout va bien) en mars 2014. On prépare des belles choses là. On espère que vous serez encore au rendez-vous. Plus de détails dans les prochains articles de ce blog….

Je viens de me lever pour récupérer mon portable. Message de Charlotte : “J’imagine”.

Haspé.

RDV au Wolf Cheap Market, maintenant.

Salut vous !

Bon depuis le dernier post d’Haspé, je réponds à la question que tout le monde me pose maintenant : et toi ça va bien ? (avec un air de petit cocker triste)

Oui, oui ça va bien ! Et vous ?

Ce weekend on est au Wolf Cheap Market, à Toulouse, alors on est très excitées.

Ca fait des mois qu’on reçoit des messages d’encouragement, de gens qu’on connaît pas du tout mais qui ont aimé le concept, et là on sera en face d’eux ou de vous peut être!

Ça fout un peu la pression du patin mais on est à fond. Jouer à la marchande ça va être sympa. Mon gros souci c’est que je ne sais pas compter…mais pas du tout …

Alors bon la grande brune avec la calculette scotchée au bras ça sera moi.

Maintenant que je vous l’ai dit c’est pas une raison pour m’arnaquer (et vice versa please vérifiez bien quand je vous rends la monnaie…).

Ces marchés ça va être une sacré expérience. Depuis qu’on est « co-gérante » d’Arsène on réalise à quel point il faut être polyvalent quand on veut monter son entreprise. Je vous avoue on était loin de s’imaginer l’investissement personnel qu’il fallait donner. Parce que tout ce que vous voyez, c’est nous !

Il y a deux raisons pour ça : déjà on avait pas beaucoup de sous-sous dans la popoche au départ du projet et en plus on voulait vraiment  faire un truc qui nous ressemble.

On me demande souvent comment on se réparti le boulot avec Haspé et bien c’est simple on partage tout quasiment.

Moi je suis un peu plus sur la création des visuels, des photos, le facebook, la com’ (presse et tutti quanti) et elle comme elle le dit si bien « je fais tout ce que mon associée ne veut pas faire » ! La relation avec l’usine, faire les chèques, le twitter, l’instagram, la compta….(on vous a déjà dit que notre comptable c’était la colloc d’Haspé ?? je laisse Haspé vous faire un post là-dessus un peu plus tard, car c’est tout une histoire la Compta !)

Non on partage tout, et on en est plutôt contentes parce que ça marche bien. Ça fait à peu près 15ans qu’on se connaît, donc on s’analyse plutôt bien maintenant….même si à l’origine on pouvait pas se blairer (mais ça aussi c’est une autre histoire : l’adolescence, les boutons, tout ça tout ça!)

Allez je vous laisse les louloux, on file pour le Wolf Cheap Market, on va vous accueillir comme des petits rois là-bas.

Des poutoux

Charlotte

“Collective mon amour”

Hello mes abricots du Vietnam.

D’ores et déjà pardon. Oui pardon. Je ne sais pas ce que j’ai avec cette chanson “Collective mon amour” là, je l’ai dans la tête en boucle depuis le début de la semaine. À tout moment je me mets à chanter le refrain, personne ne reconnait la chanson. Bon. Ok. En plus c’est pas du tout ce que j’écoute comme musique, mais depuis quelques temps je sais pas, je suis gnangnan.
Puis je trouve ça beau “collective mon amour”.

Sinon là je vous écris du “siège”. Le siège entre guillemets qu’est-ce que c’est ? le siège entre guillemets, bé c’est notre siège social. Et notre siège social, bé c’est chez mon papa et ma maman. Pourquoi ? Parce que les impôts, les comptes offshore etc… Vous êtes trop jeunes. Je suis rentrée pour quelques jours, couper un peu, enfin retrouver les potes qui sont eux aussi rentrer pour le week-end ou qui sont ici. Répondre, re répondre et re re répondre à la fameuse question qu’on me pose tous les jours “alors, Arsène ?”. On me demande même plus si moi ça va. Les gens s’en foutent, non, ils veulent savoir comment ça se passe chez Arsène. Et ça c’est fou, c’est fou parce que tout notre entourage est à fond. Mais quand je dis à fond, je crois que vous imaginez pas. Jamais avec Charlotte on aurait pu imaginer ça. À la base on voulait juste créer des espadrilles, puis y apposer une marque, puis vendre ces espadrilles. Et dans cet ordre là. On s’est pas dit : “on va créer une marque parce que comme ça, ça marchera puis on aura créer notre entreprise et on gagnera de l’argent”. Puis déjà on gagne pas d’argent là. Alors je sais pas, peut-être qu’on a réussi à créer un truc autour d’Arsène, les réseaux sociaux y sont pour beaucoup c’est sur. On y écrit comme on est en tout cas. Mais nos amis, nos familles, c’est nos meilleurs communicants. Et de loin.

Puis cette semaine, on est passé dans Shoes-up magazine. Alors oui, oui, on pourrait parler de l’un des plus beaux jours de ma vie (avec le jour où j’ai acheté mon t-shirt préféré, trouvé au zara à Montréal, mais ça c’est une autre histoire). Mes amis et ma famille ne voyaient ce magazine que chez moi, ce qui me valait à chaque fois la question “mais c’est un magazine que de chaussures ?” Moi c’est ma lecture trimestrielle, le truc qui me fait me lever le jour de sa sortie quoi. Et je les ai tellement soulé, mais gavé avec ce magazine quand j’ai su qu’on allait paraitre, qu’ils faisaient que me demander la date de sortie du magazine. Mais limite ils étaient plus excités que moi. En tout cas, on en est méga fières avec Charlotte. Il y a un peu plus d’un an, quand on a eu cette idée, je lui disais en rigolant “t’imagines quand on sera dans Shoes-up ?”. Puis c’est maintenant là en écrivant ces lignes que je me rends compte quoi. On a crée un truc, que les gens achètent, qui est distribué en France et bientôt à l’étranger (on y reviendra), mais quand je prends du recul sur tout ça, j’ai du mal à y croire. Évidemment, faut ramener tout ça à notre échelle, on est pas grand chose non plus, mais on s’en fout, on s’éclate là en faisant ça. De toute façon c’est simple, on fait seulement les choses qui nous plaisent et de la manière dont on veut. C’est la seule et unique règle chez Arsène.

Fin de l’article, je dois aller répondre au texto de tatie Annie là, fan ultime d’Arsène, indétrônable.

Bisous tendresse en tout cas.

Haspé.

Midlake.

Salut mes petites loutres du Pakistan.

Bon c’est mon tour d’inaugurer ce blog. Au cas ou vous ne l’auriez pas remarqué, ce changement plus textuel moins visuel est le résultat d’une réflexion d’à peu près 653 543 heures. Alors autant on peut passer très vite sur des choses importantes que là, sur comment utiliser notre tumblr au mieux, bien on peut y passer des années. Certainement qu’il changera encore. Pour passer à quelque chose de plus visuel moins textuel.

C’était le moment idéal pour moi d’écrire ici. Il est 22h35, je viens de me poser. Mes colocs, qui feront l’objet d’un prochain article pour que vous compreniez bien dans quoi je vis, sont devant “Mais qui a tué Pamela Rose ?” en même temps qu’il rédige un rapport pour l’un, et joue à Candy Crush pour l’autre. (Là du coup vous vous dites vivement l’article sur eux non ?). J’avais pas le droit de mettre le nouveau Daft Punk en fond, alors c’est pour ça que je me retrouve devant mon ordi, Midlake dans les oreilles.

Tiens, j’étais partie pour vous parler stratégie e-marketing ou investissement à court et long terme, bref des sujets dont on parle tous les jours avec Charlotte. Ironie. Puis Hanni El Khatib a surgis dans mes écouteurs. On va plutôt parler musique alors.

Quand on travaille ici, on met toujours de la musique en fond. Je suis capable de bloquer sur une chanson, sur un album. C’est à dire que pendant deux mois, je peux écouter la même chose puis d’un coup j’en ai marre et je ne le ré écouterai que des mois plus tard. Ou plus jamais. Mais là ce qui est bizarre, et ce qui surtout commence à saouler Charlotte, c’est que je n’arrive pas à me lacer du dernier cd des Local Natives – Hummingbird. Ça fait cinq mois, en boucle, le matin au réveil, quand je bosse et que discretos je le glisse dans la playlist, le soir pour m’endormir. Cet album il est beau et fou. Certains parleront de dépressif. Regardez plutôt leur soirée de poche et aimez les :

http://liveweb.arte.tv/fr/video/Soiree_de_Poche_Local_Natives/

Et c’est pareil pour In the grace of your love de The Rapture, en boucle.  Puis évidemment, il y a les Foals, les Black Keys ou The Kills qui sont les valeurs sures de mon Itunes. Et avec ça, j’écoute et je découvre Woodkid, Fauve, Major Lazer ou encore le nouveau Cold War Kids. Ça veut pas dire que j’aime tout ce que j’écoute, mais j’adore quand j’écoute des nouvelles choses ou quand on me donne de la musique en me disant “ça tu vas aimer/ ça non”. En réalité, les albums qui me rendent dingues sont très rares et les derniers qui me viennent en tête (mise à part ceux de Local Natives) sont ceux de Metronomy ou The Shoes, qui me rappellent davantage une époque. Ah oui parce que ça par contre, ça me le fait systématiquement, j’identifie des albums à des moments. Et ça j’adore. Lequel j’identifierai à la période Arsène ?

Allez jeunes, ils sont partis au lit, le nouveau Daft Punk est pour moi.

Bisous tendresse en tout cas.

Haspé.

Chapter 1 : Let’s have a break!

Pour inaugurer notre blog, point de discussions autour des tissus, de la corde, de l’espadrille.

On est pas là pour être ici.

On fait un petit break, on aura bien l’occasion d’en discuter en long en large et en travers lors d’autres posts.

Je vais vous parler de ce qui a rythmé les derniers jours de 50% du staff d’Arsène : Bratislava &Vienne.
Je n’ai été ni subventionnée par la Slovaquie ni par l’Autriche pour ça, c’est juste que j’ai trouvé ces 2 destinations plutôt pas mal!
Ça fait un an qu’on est la tête dans le guidon avec Arsène, ça méritait bien quelques jours de pause…

Mercredi/Jeudi : Bratislava!
Ambiance assez calme et surtout ambiance post soviétique, les pays de l’est comme on peut se les imaginer : un peu délabrés mais avec beaucoup de charme!
Mais surtout pas de demi-mesure chez les Slovaques, quand vous commandez une bière ne vous attendez pas au petit 25cl français…ici, un demi-litre et plus ou rien! Et pour couronner le tout 2€ le verre (ou bassine, comme vous voulez!)
De quoi passer la nuit a swinguer sur Ozone, sans s’en rendre compte…(“à consommer avec modération” comme dirait Haspé…) .
Expos photos, visites de musées, du château royal, balades dans le centre historique…Bratislava est une ville très sympa mais assez petite, on en fait vite le tour.

C’est pourquoi, vendredi/samedi/dimanche : Vienne!
Arrivée en bateau par le Danube : Brastilava et Vienne sont séparées par à peine 60 km le long du fleuve.
Puis arrivée dans le centre ville par le métro et là bam: ein grosse claque!
Concentration de bâtiments de fous en plein centre ville, tout est magnifique! Gros coup de cœur pour cette ville!
Ambiance jeune, des marchés incroyables qui se transforment en bars le soir, des tramways partout, tout semble facile et beau.
Vienne fait partie du top 10 des villes au monde où il fait bon vivre, je comprends mieux pourquoi!
En bref, allez-y au printemps-été, tout le monde est dehors, l’ambiance y est parfaite.
Je joins quelques photos du voyage pour un peu plus vous décider à prendre vos billets!

De mon côté je retourne à vos commandes, il faut bien reprendre le travail! 😉
Bisous à tous!

Charlotte!

Départ Gérone (Espagne)

 

 Les fameuses “petites bières” de Bratislava

Tramway

 Bâtiment annexe au palais impérial de Shönbrunn 

Jardins à la Française du palais impérial 

 Marché de Vienne, le jour

 Marché de Vienne, la nuit 

 Grande roue du Prater

#SuperHeros

Tadaaaaaam #SuperHeros

Colis

On envoie du colis chez Arsène! #shoes #espadrilles #fashion #ilovearsene

Merci Paulette.

Aujourd’hui c’est la journée “Prends ton écran en photo”, super article sur Paulette Magazine. Alors bisous à toutes les Paulettes et merci ! 😍👯 @paulettemagazine

Les Petits Frenchies.

Nouvelle lecture matinale, on est sur Les Petits Frenchies ! @les_petits_frenchies 🇫🇷🐓🇫🇷 #MadeInFrance